lundi 21 avril 2008
lundi 14 avril 2008
samedi 12 avril 2008
vendredi 11 avril 2008
mercredi 9 avril 2008
mardi 8 avril 2008
lundi 7 avril 2008
YVONNE RENTRAIT AU HAMEAU PAR LUCIENNE C.
Le dessin représente l'ancienne fontaine de la place du Mandarous qui a été enlevée.
vendredi 4 avril 2008
jeudi 3 avril 2008
TRADUCTION DE LO MANHAN
LE VER A SOIE
Un enfant regardait un ver à soie qui travaillait
Pour faire son joli cocon
Cela l'intéressait beaucoup
Tout-à-coup, il s'adresse à son père et lui dit :
Ce ver à soie, si petit, que fait-il ?
Que veut-il faire ? Que fait-il ?
- Il prépare son tombeau
- Il pense donc mourir bientôt ? Peuchère !
- Ah oui ! Mais pour ressusciter !
- Que dis-tu là ? Je ne comprends guère.
Ne pourrais-tu pas m'expliquer ?
- Mais si, mon enfant. Et tout de suite.
Ce ver à soie qui tant s'agite
Pour faire son joli cocon
S'enfermera dans son petit sac
Pour se perfectionner
Et y faire pénitence.
Au bout de 40 jours
De peines, de patience,
Muni d'ailes d'azur
Changé en papillon
Il crèvera son cocon
Et dans l'air prendra son vol.
Ainsi feras-tu quand tu quitteras la vie
Si tu as toujours été
Honnête, laborieux, charitable, rangé et miséricordieux.
A la mort,
Ta course finie,
Tu laisseras dans le tombeau
Ton corps qui n'est que pourriture
Et ton âme immortelle et pure
Ira prendre place au ciel.
Traduction de Colette Defrain et de Jacques Astor
Un enfant regardait un ver à soie qui travaillait
Pour faire son joli cocon
Cela l'intéressait beaucoup
Tout-à-coup, il s'adresse à son père et lui dit :
Ce ver à soie, si petit, que fait-il ?
Que veut-il faire ? Que fait-il ?
- Il prépare son tombeau
- Il pense donc mourir bientôt ? Peuchère !
- Ah oui ! Mais pour ressusciter !
- Que dis-tu là ? Je ne comprends guère.
Ne pourrais-tu pas m'expliquer ?
- Mais si, mon enfant. Et tout de suite.
Ce ver à soie qui tant s'agite
Pour faire son joli cocon
S'enfermera dans son petit sac
Pour se perfectionner
Et y faire pénitence.
Au bout de 40 jours
De peines, de patience,
Muni d'ailes d'azur
Changé en papillon
Il crèvera son cocon
Et dans l'air prendra son vol.
Ainsi feras-tu quand tu quitteras la vie
Si tu as toujours été
Honnête, laborieux, charitable, rangé et miséricordieux.
A la mort,
Ta course finie,
Tu laisseras dans le tombeau
Ton corps qui n'est que pourriture
Et ton âme immortelle et pure
Ira prendre place au ciel.
Traduction de Colette Defrain et de Jacques Astor
LO MANHAN - NOEL 1966
Poème en occitan récité par ma grand-mère. Sa voix est un peu altérée. Elle souffrait d'une insuffisance mitrale qu'on ne soignait pas à son époque.
mardi 1 avril 2008
BOULEN CONTA NUOSTRO PATRIO - NOEL 1966
Interprété par ma famille lors du Noël 1966. Les appareils n'étaient pas numériques.
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